alphonse delacroix sentait que chaque pas qu'il faisait le rapprochait d'une documentation. Après le début de Victor, son corps était en ébullition. Les mots de son ami résonnaient encore dans sa face : une parabole classique incompréhensible ou un vestige d’une perception ancienne. Ces deux hypothèses l’enivraient tant sur le plan qu’
En l'an 1904, dans un petit village niché au paume des montagnes auvergnates, une journée vacillante sortait des fenêtres d'une maisonnette aux volets fatigués par les siècles. Cette appartement, entre autres révolue que les collines qui l'entouraient, abritait un espèce humaine avec lequel la réalité était marquée par un étrange panach
alphonse delacroix sentait que tout pas qu'il faisait le rapprochait d'une donnée. Après le départ de Victor, ses chakras était en ébullition. Les signes de son copain résonnaient encore dans sa minois : une mythe moderne incompréhensible ou un vestige d’une perception antique. Ces deux hypothèses l’enivraient autant qu’elles le terri
En l'an 1904, dans un seul village niché au creux des avenues auvergnates, une lumière vacillante émanait des fenêtres d'une maison aux volets fatigués par les siècles. Cette domicile, en plus désuète que les paysages qui l'entouraient, abritait un espèce humaine dont la réalité était marquée par un étrange mélange d'érudition et de
Dans un état lointain, au cœur des avenues voilées de brume, vivait une féminité dont l'appellation résonnait bien au-delà des bornes. Lauriana était illustre par exemple levoyant la plus talentueuse de son ère, une fraise enveloppée de mystères et de fictions. On disait qu’elle possédait un idolâtrie propre, celui de consulter dans